Tony Jenkins

Passion

J'adore les activités de plein-air – le camping, la pêche, la chasse, le motocross et le vélo de montagne. J'aime également passer du temps et partir à l’aventure avec mes enfants. Ma famille et mes amis vous diraient que je suis toujours partant pour une excursion et que je rentre rarement avant la tombée de la nuit. Mon engouement pour la motoneige m'a poussé à promouvoir ce sport et à partager ma passion, que ce soit en donnant des séminaires sur la conduite hors-piste ou en partant en excursion le week-end avec mes amis. J'ai la chance d'habiter le sud-est de l'Idaho où la neige y est très abondante. Il est souvent possible de pratiquer la motoneige de novembre à juin. Conduire huit mois par année ne me laisse que quatre mois pour préparer la saison suivante – c'est peu.

Terrain de jeu

Mon endroit préféré est le sud-est de l'Idaho, surtout parce que je connais très bien cette région. Et puis comme elle longe la ligne continentale de partage des eaux, elle reçoit d'importantes accumulations de neige. Même durant une année de neige peu abondante, je vais m'aventurer sur les pentes orientées au nord qui sont tapissées d'arbres. J'ai eu la chance d'explorer des endroits variés et uniques en Amérique du Nord, notamment dans les États de Washington, de l'Oregon, du Montana, du Wyoming, de l'Utah, du Colorado, ou encore, en Colombie-Britannique. À mon avis, la zone frontalière Idaho/Wyoming offre les meilleures possibilités pour s'adonner à la motoneige, surtout si, comme moi, vous appréciez la conduite technique.

Vêtements

Cette année, j'ai opté pour les vêtements Ski-Doo. Je conduis vêtu du manteau et de la salopette Helium 50. J'ai choisi Helium 50 parce que je malmène pas mal mes vêtements, et ceux-ci offrent une coquille plus résistante. Quant aux gants MCode, ils sont excellents, mais les gants Highmark OutDry sont exceptionnels. Ils offrent une sensibilité tactile et gardent au sec, en plus d'être très confortables.

Boulot régulier

Définir le travail que je fais n'est pas évident. Ce n'est pas un «travail standard». Cela implique beaucoup de plaisir et des entraînements exigeants. Je n'ai pas vraiment d'horaire, je peux conduire ma motoneige Ski-Doo durant mes jours de congé. Et puis soyons réalistes, je ne supporterais pas plus de deux jours un «travail normal»!

Le plus grand plaisir à motoneige

Quand vous conduisez avec des amis et que vous devez allumer les phares pour mieux voir où vous aller, ça s'appelle une journée superbe. Il m'est arrivé de glisser d'un sommet de montagne pour me retrouver au fond d'un ravin dans le noir le plus absolu, avec un réservoir d'essence vide – je croyais que c'était un raccourci! J'ai dû y passer la nuit, puis me sortir de là le lendemain matin. C'est la raison pour laquelle j'emporte toujours un équipement de survie. Ce genre de randonnées sont les plus mémorables! Le plus drôle, c'est que ma femme ne contactera pas l'équipe de recherche avant au moins deux jours parce qu'elle sait qu'ils ne me trouveraient pas, et que c'est moi qui devrai aller les secourir après m'être sorti de ma fâcheuse situation – sans blague!